giyl
Lexique hébreu-français et français-hébreu

Strong numéro : 1524 Parcourir le lexique
Mot original Origine du mot
גִּיל

Vient de 1523

Mot translittéré Entrée du TWOT

giyl

346a, b

Prononciation phonétique Type de mot

(gheel)   

Nom masculin

Définition :
  1. une réjouissance, allégresse
  2. un cercle, âge
« giyl » est traduit dans la Louis Segond 1910 par :

transporté, joie, allégresse, de votre âge ; 10

Concordance biblique du mot hébreu « giyl » :

Job 3.22
Qui seraient transportés (giyl) de joie Et saisis d’allégresse, s’ils trouvaient le tombeau ?

Psaumes 43.4
J’irai vers l’autel de Dieu, de Dieu, ma joie (giyl) et mon allégresse, Et je te célébrerai sur la harpe, ô Dieu, mon Dieu !

Psaumes 45.15
(45.16) On les introduit au milieu des réjouissances et de l’allégresse (giyl), Elles entrent dans le palais du roi.

Psaumes 65.12
(65.13) Les plaines du désert sont abreuvées, Et les collines sont ceintes d’allégresse (giyl);

Proverbes 23.24
Le père du juste est dans l’allégresse (giyl), Celui qui donne naissance à un sage aura de la joie.

Esaïe 16.10
La joie et l’allégresse (giyl) ont disparu des campagnes ; Dans les vignes, plus de chants , plus de réjouissances ! Le vendangeur ne foule plus le vin dans les cuves ; J’ai fait cesser les cris de joie.

Jérémie 48.33
La joie et l’allégresse (giyl) ont disparu des campagnes Et du pays de Moab ; J’ai fait tarir le vin dans les cuves ; On ne foule plus gaîment au pressoir; Il y a des cris de guerre, et non des cris de joie.

Daniel 1.10
Le chef des eunuques dit à Daniel : Je crains mon seigneur le roi, qui a fixé ce que vous devez manger et boire ; car pourquoi verrait -il votre visage plus abattu  que celui des jeunes gens de votre âge (giyl)? Vous exposeriez ma tête auprès du roi.

Osée 9.1
Israël, ne te livre pas à la joie, à l’allégresse (giyl), comme les peuples, De ce que tu t’es prostitué en abandonnant l’Éternel, De ce que tu as aimé un salaire impur dans toutes les aires à blé !

Joël 1.16
La nourriture n’est-elle pas enlevée sous nos yeux ? La joie et l’allégresse (giyl) n’ont-elles pas disparu de la maison de notre Dieu ?