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  • Dictionnaire Biblique de Jean-Augustin Bost. Le Dictionnaire biblique de Jean-Augustin Bost traite de tout ce qui est matériellement et naturellement difficile à comprendre dans la Bible, des mœurs, des lieux, des hommes, des noms de plantes, d'animaux, de minéraux, etc.

  • Dictionnaire historique et critique de la Bible Augustin Calmet. Le Dictionnaire historique, critique, chronologique, géographique et littéral de la Bible, en plus de donner la définition des mots de toute la Bible, aborde des aspects historiques, linguistiques, culturels, ethnographiques et géographiques qui pourraient échapper au croyant.

  • Dictionnaire Biblique de Charles Lelièvre. Le Lexique de la Bible du pasteur Charles Lelièvre met à la portée de tous les chrétiens le texte de la Bible qui est une source incomparable de vie spirituelle, étant le document classique de la révélation de Dieu à l'humanité.

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Verset du jour - Les trésors de la foi

« L’Éternel donne la grâce et la gloire. » Psaumes 84.12

Il n’est rien dont nous ayons plus besoin que de la grâce, et elle nous est offerte ici gratuitement. Quoi de plus gratuit qu’un don ? Recevons en ce jour le don de la grâce pour nous soutenir, nous fortifier, nous sanctifier. Elle nous a été donnée chaque jour jusqu’ici, et Dieu nous l’assure encore pour demain : « Sa grâce nous suffit. » Si nous n’avons reçu que peu de cette grâce, la faute n’en est qu’à nous-mêmes, car la main de l’Éternel ne s’est point resserrée, ni ralentie, pour ne pas répandre avec abondance. Nous pouvons en demander autant qu’il nous en faut, sans jamais éprouver de refus. « Il nous donne à tous libéralement sans rien reprocher. » Il ne nous donnera peut-être ni or, ni avantages terrestres, mais il nous donnera sa grâce ; il y joindra certainement des épreuves, mais nous donnera la grâce en proportion. Nous serons appelés à travailler et à souffrir, mais en même temps, nous recevrons toute la grâce nécessaire.

Puis, voyez de quoi cette grâce est suivie : – et la gloire ! Nous n’en avons pas besoin maintenant, car nous n’y sommes pas encore préparés ; mais elle nous sera donnée au temps convenable. Après que nous aurons mangé du pain de la grâce, nous boirons du vin de la gloire. Nous avons à traverser le lieu saint, qui est la grâce, pour arriver au lieu très saint, la gloire. Dans ces mots : « et la gloire, » il y a de quoi nous faire tressaillir de joie. Encore un peu de temps, très peu... et la gloire à jamais !

Charles Spurgeon

Bible en un an: 4 textes bibliques par jour
Jour 79

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Cliquez simplement sur les chapitres ci-dessous pour les lire chaque jour.


Naomi, sa belle-mère, lui dit : Ma fille, je voudrais assurer ton repos, afin que tu fusses heureuse.
Et maintenant Boaz, avec les servantes duquel tu as été, n’est-il pas notre parent ? Voici, il doit vanner cette nuit les orges qui sont dans l’aire.
Lave-toi et oins-toi, puis remets tes habits, et descends à l’aire. Tu ne te feras pas connaître à lui, jusqu’à ce qu’il ait achevé de manger et de boire.
Et quand il ira se coucher, observe le lieu où il se couche. Ensuite va, découvre ses pieds, et couche-toi. Il te dira lui-même ce que tu as à faire.
Elle lui répondit : Je ferai tout ce que tu as dit.
Elle descendit à l’aire, et fit tout ce qu’avait ordonné sa belle-mère.
Boaz mangea et but, et son cœur était joyeux. Il alla se coucher à l’extrémité d’un tas de gerbes. Ruth vint alors tout doucement, découvrit ses pieds, et se coucha.
Au milieu de la nuit, cet homme eut une frayeur ; il se pencha, et voici, une femme était couchée à ses pieds.
Il dit : Qui es-tu ? Elle répondit : Je suis Ruth, ta servante ; étends ton aile sur ta servante, car tu as droit de rachat.
Et il dit : Sois bénie de l’Éternel, ma fille ! Ce dernier trait témoigne encore plus en ta faveur que le premier, car tu n’as pas recherché des jeunes gens, pauvres ou riches.
Maintenant, ma fille, ne crains point ; je ferai pour toi tout ce que tu diras ; car toute la porte de mon peuple sait que tu es une femme vertueuse.
Il est bien vrai que j’ai droit de rachat, mais il en existe un autre plus proche que moi.
Passe ici la nuit. Et demain, s’il veut user envers toi du droit de rachat, à la bonne heure, qu’il le fasse ; mais s’il ne lui plaît pas d’en user envers toi, j’en userai, moi, l’Éternel est vivant ! Reste couchée jusqu’au matin.
Elle resta couchée à ses pieds jusqu’au matin, et elle se leva avant qu’on pût se reconnaître l’un l’autre. Boaz dit : Qu’on ne sache pas qu’une femme est entrée dans l’aire.
Et il ajouta : Donne le manteau qui est sur toi, et tiens-le. Elle le tint, et il mesura six mesures d’orge, qu’il chargea sur elle. Puis il rentra dans la ville.
Ruth revint auprès de sa belle-mère, et Naomi dit : Est-ce toi, ma fille ? Ruth lui raconta tout ce que cet homme avait fait pour elle.
Elle dit : Il m’a donné ces six mesures d’orge, en disant : Tu ne retourneras pas à vide vers ta belle-mère.
Et Naomi dit : Sois tranquille, ma fille, jusqu’à ce que tu saches comment finira la chose, car cet homme ne se donnera point de repos qu’il n’ait terminé cette affaire aujourd’hui.

Boaz monta à la porte, et s’y arrêta. Or voici, celui qui avait droit de rachat, et dont Boaz avait parlé, vint à passer. Boaz lui dit : Approche, reste ici, toi un tel. Et il s’approcha, et s’arrêta.
Boaz prit alors dix hommes parmi les anciens de la ville, et il dit : Asseyez-vous ici. Et ils s’assirent.
Puis il dit à celui qui avait le droit de rachat : Naomi, revenue du pays de Moab, a vendu la pièce de terre qui appartenait à notre frère Élimélec.
J’ai cru devoir t’en informer, et te dire : Acquiers-la, en présence des habitants et en présence des anciens de mon peuple. Si tu veux racheter, rachète ; mais si tu ne veux pas, déclare-le-moi, afin que je le sache. Car il n’y a personne avant toi qui ait le droit de rachat, et je l’ai après toi. Et il répondit : je rachèterai.
Boaz dit : Le jour où tu acquerras le champ de la main de Naomi, tu l’acquerras en même temps de Ruth la Moabite, femme du défunt, pour relever le nom du défunt dans son héritage.
Et celui qui avait le droit de rachat répondit : Je ne puis pas racheter pour mon compte, crainte de détruire mon héritage ; prends pour toi mon droit de rachat, car je ne puis pas racheter.
Autrefois en Israël, pour valider une affaire quelconque relative à un rachat ou à un échange, l’un ôtait son soulier et le donnait à l’autre : cela servait de témoignage en Israël.
Celui qui avait le droit de rachat dit donc à Boaz : Acquiers pour ton compte ! Et il ôta son soulier.
Alors Boaz dit aux anciens et à tout le peuple : Vous êtes témoins aujourd’hui que j’ai acquis de la main de Naomi tout ce qui appartenait à Élimélec, à Kiljon et à Machlon,
et que je me suis également acquis pour femme Ruth la Moabite, femme de Machlon, pour relever le nom du défunt dans son héritage, et afin que le nom du défunt ne soit point retranché d’entre ses frères et de la porte de son lieu. Vous en êtes témoins aujourd’hui !
Tout le peuple qui était à la porte et les anciens dirent : Nous en sommes témoins ! Que l’Éternel rende la femme qui entre dans ta maison semblable à Rachel et à Léa, qui toutes les deux ont bâti la maison d’Israël ! Manifeste ta force dans Éphrata, et fais-toi un nom dans Bethléhem !
Puisse la postérité que l’Éternel te donnera par cette jeune femme rendre ta maison semblable à la maison de Pérets, qui fut enfanté à Juda par Tamar !
Boaz prit Ruth, qui devint sa femme, et il alla vers elle. L’Éternel permit à Ruth de concevoir, et elle enfanta un fils.
Les femmes dirent à Naomi : Béni soit l’Éternel, qui ne t’a point laissé manquer aujourd’hui d’un homme ayant droit de rachat, et dont le nom sera célébré en Israël !
Cet enfant restaurera ton âme, et sera le soutien de ta vieillesse ; car ta belle-fille, qui t’aime, l’a enfanté, elle qui vaut mieux pour toi que sept fils.
Naomi prit l’enfant et le mit sur son sein, et elle fut sa garde.
Les voisines lui donnèrent un nom, en disant : Un fils est né à Naomi ! Et elles l’appelèrent Obed. Ce fut le père d’Isaï père de David.
Voici la postérité de Pérets.
Pérets engendra Hetsron ; Hetsron engendra Ram ; Ram engendra Amminadab ;
Amminadab engendra Nachschon ; Nachschon engendra Salmon ;
Salmon engendra Boaz ; Boaz engendra Obed ;
Obed engendra Isaï; et Isaï engendra David.

Il y avait un homme de Ramathaïm Tsophim, de la montagne d’Éphraïm, nommé Elkana, fils de Jeroham, fils d’Élihu, fils de Thohu, fils de Tsuph, Éphratien.
Il avait deux femmes, dont l’une s’appelait Anne, et l’autre Peninna ; Peninna avait des enfants, mais Anne n’en avait point.
Chaque année, cet homme montait de sa ville à Silo, pour se prosterner devant l’Éternel des armées et pour lui offrir des sacrifices. Là se trouvaient les deux fils d’Éli, Hophni et Phinées, sacrificateurs de l’Éternel.
Le jour où Elkana offrait son sacrifice, il donnait des portions à Peninna, sa femme, et à tous les fils et à toutes les filles qu’il avait d’elle.
Mais il donnait à Anne une portion double ; car il aimait Anne, que l’Éternel avait rendue stérile.
Sa rivale lui prodiguait les mortifications, pour la porter à s’irriter de ce que l’Éternel l’avait rendue stérile.
Et toutes les années il en était ainsi. Chaque fois qu’Anne montait à la maison de l’Éternel, Peninna la mortifiait de la même manière. Alors elle pleurait et ne mangeait point.
Elkana, son mari, lui disait : Anne, pourquoi pleures-tu, et ne manges-tu pas ? Pourquoi ton cœur est-il attristé ? Est-ce que je ne vaux pas pour toi mieux que dix fils ?
Anne se leva, après que l’on eut mangé et bu à Silo. Le sacrificateur Éli était assis sur un siège, près de l’un des poteaux du temple de l’Éternel.
Et, l’amertume dans l’âme, elle pria l’Éternel et versa des pleurs.
Elle fit un vœu, en disant : Éternel des armées ! Si tu daignes regarder l’affliction de ta servante, si tu te souviens de moi et n’oublies point ta servante, et si tu donnes à ta servante un enfant mâle, je le consacrerai à l’Éternel pour tous les jours de sa vie, et le rasoir ne passera point sur sa tête.
Comme elle restait longtemps en prière devant l’Éternel, Éli observa sa bouche.
Anne parlait dans son cœur, et ne faisait que remuer les lèvres, mais on n’entendait point sa voix. Éli pensa qu’elle était ivre,
et il lui dit : Jusques à quand seras-tu dans l’ivresse ? Fais passer ton vin.
Anne répondit : Non, mon seigneur, je suis une femme qui souffre en son cœur, et je n’ai bu ni vin ni boisson enivrante ; mais je répandais mon âme devant l’Éternel.
Ne prends pas ta servante pour une femme pervertie, car c’est l’excès de ma douleur et de mon chagrin qui m’a fait parler jusqu’à présent.
Éli reprit la parole, et dit : Va en paix, et que le Dieu d’Israël exauce la prière que tu lui as adressée !
Elle dit : Que ta servante trouve grâce à tes yeux ! Et cette femme s’en alla. Elle mangea, et son visage ne fut plus le même.
Ils se levèrent de bon matin, et après s’être prosternés devant l’Éternel, ils s’en retournèrent et revinrent dans leur maison à Rama. Elkana connut Anne, sa femme, et l’Éternel se souvint d’elle.
Dans le cours de l’année, Anne devint enceinte, et elle enfanta un fils, qu’elle nomma Samuel, car, dit-elle, je l’ai demandé à l’Éternel.
Son mari Elkana monta ensuite avec toute sa maison, pour offrir à l’Éternel le sacrifice annuel, et pour accomplir son vœu.
Mais Anne ne monta point, et elle dit à son mari : Lorsque l’enfant sera sevré, je le mènerai, afin qu’il soit présenté devant l’Éternel et qu’il reste là pour toujours.
Elkana, son mari, lui dit : Fais ce qui te semblera bon, attends de l’avoir sevré. Veuille seulement l’Éternel accomplir sa parole ! Et la femme resta et allaita son fils, jusqu’à ce qu’elle le sevrât.
Quand elle l’eut sevré, elle le fit monter avec elle, et prit trois taureaux, un épha de farine, et une outre de vin. Elle le mena dans la maison de l’Éternel à Silo : l’enfant était encore tout jeune.
Ils égorgèrent les taureaux, et ils conduisirent l’enfant à Éli.
Anne dit : Mon seigneur, pardon ! Aussi vrai que ton âme vit, mon seigneur, je suis cette femme qui me tenais ici près de toi pour prier l’Éternel.
C’était pour cet enfant que je priais, et l’Éternel a exaucé la prière que je lui adressais.
Aussi je veux le prêter à l’Éternel : il sera toute sa vie prêté à l’Éternel. Et ils se prosternèrent là devant l’Éternel.

C’est pourquoi, frères saints, qui avez part à la vocation céleste, considérez l’apôtre et le souverain sacrificateur de la foi que nous professons,
Jésus, qui a été fidèle à celui qui l’a établi, comme le fut Moïse dans toute sa maison.
Car il a été jugé digne d’une gloire d’autant supérieure à celle de Moïse que celui qui a construit une maison a plus d’honneur que la maison même.
Chaque maison est construite par quelqu’un, mais celui qui a construit toutes choses, c’est Dieu.
Pour Moïse, il a été fidèle dans toute la maison de Dieu, comme serviteur, pour rendre témoignage de ce qui devait être annoncé ;
mais Christ l’est comme Fils sur sa maison ; et sa maison, c’est nous, pourvu que nous retenions jusqu’à la fin la ferme confiance et l’espérance dont nous nous glorifions.
C’est pourquoi, selon ce que dit le Saint-Esprit : Aujourd’hui, si vous entendez sa voix,
N’endurcissez pas vos cœurs, comme lors de la révolte, Le jour de la tentation dans le désert,
Où vos pères me tentèrent, Pour m’éprouver, et ils virent mes œuvres Pendant quarante ans.
Aussi je fus irrité contre cette génération, et je dis : Ils ont toujours un cœur qui s’égare. Ils n’ont pas connu mes voies.
Je jurai donc dans ma colère : Ils n’entreront pas dans mon repos !
Prenez garde, frère, que quelqu’un de vous n’ait un cœur mauvais et incrédule, au point de se détourner du Dieu vivant.
Mais exhortez-vous les uns les autres chaque jour, aussi longtemps qu’on peut dire : Aujourd’hui ! Afin qu’aucun de vous ne s’endurcisse par la séduction du péché.
Car nous sommes devenus participants de Christ, pourvu que nous retenions fermement jusqu’à la fin l’assurance que nous avions au commencement,
pendant qu’il est dit : Aujourd’hui, si vous entendez sa voix, N’endurcissez pas vos cœurs, comme lors de la révolte.
Qui furent, en effet, ceux qui se révoltèrent après l’avoir entendue, sinon tous ceux qui étaient sortis d’Égypte sous la conduite de Moïse ?
Et contre qui Dieu fut-il irrité pendant quarante ans, sinon contre ceux qui péchaient, et dont les cadavres tombèrent dans le désert ?
Et à qui jura-t-il qu’ils n’entreraient pas dans son repos, sinon à ceux qui avaient désobéi ?
Aussi voyons-nous qu’ils ne purent y entrer à cause de leur incrédulité.

Craignons donc, tandis que la promesse d’entrer dans son repos subsiste encore, qu’aucun de vous ne paraisse être venu trop tard.
Car cette bonne nouvelle nous a été annoncée aussi bien qu’à eux ; mais la parole qui leur fut annoncée ne leur servit de rien, parce qu’elle ne trouva pas de la foi chez ceux qui l’entendirent.
Pour nous qui avons cru, nous entrons dans le repos, selon qu’il dit : Je jurai dans ma colère : Ils n’entreront pas dans mon repos ! Il dit cela, quoique ses œuvres eussent été achevées depuis la création du monde.
Car il a parlé quelque part ainsi du septième jour : Et Dieu se reposa de toutes ses œuvres le septième jour.
Et ici encore : Ils n’entreront pas dans mon repos !
Or, puisqu’il est encore réservé à quelques-uns d’y entrer, et que ceux à qui d’abord la promesse a été faite n’y sont pas entrés à cause de leur désobéissance,
Dieu fixe de nouveau un jour-aujourd’hui-en disant dans David si longtemps après, comme il est dit plus haut : Aujourd’hui, si vous entendez sa voix, N’endurcissez pas vos cœurs.
Car, si Josué leur eût donné le repos, il ne parlerait pas après cela d’un autre jour.
Il y a donc un repos de sabbat réservé au peuple de Dieu.
Car celui qui entre dans le repos de Dieu se repose de ses œuvres, comme Dieu s’est reposé des siennes.
Efforçons-nous donc d’entrer dans ce repos, afin que personne ne tombe en donnant le même exemple de désobéissance.
Car la parole de Dieu est vivante et efficace, plus tranchante qu’une épée quelconque à deux tranchants, pénétrante jusqu’à partager âme et esprit, jointures et moelles ; elle juge les sentiments et les pensées du cœur.
Nulle créature n’est cachée devant lui, mais tout est à nu et à découvert aux yeux de celui à qui nous devons rendre compte.
Ainsi, puisque nous avons un grand souverain sacrificateur qui a traversé les cieux, Jésus, le Fils de Dieu, demeurons fermes dans la foi que nous professons.
Car nous n’avons pas un souverain sacrificateur qui ne puisse compatir à nos faiblesses ; au contraire, il a été tenté comme nous en toutes choses, sans commettre de péché.
Approchons-nous donc avec assurance du trône de la grâce afin d’obtenir miséricorde et de trouver grâce, pour être secourus dans nos besoins.

Verset du jour

SELECT v.livre, v.chapitre, v.verset, L.Texte, C.NomCourt FROM vod AS v INNER JOIN Correspondance AS C ON C.Livre = v.livre INNER JOIN LSG AS L ON v.livre = L.Livre AND v.chapitre = L.chapitre AND v.verset = L.verset WHERE v.id = 3

Proverbes 16.3

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