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Verset du jour - Les trésors de la foi

« On donnera à celui qui à déjà, et il aura encore davantage. » Matthieu 13.12

Quand le Seigneur a déjà donné à un homme de grandes grâces, il lui donnera davantage encore. Un peu de foi est un premier œuf dans un nid, il en sera ajouté encore. Seulement n’ayons pas une foi d’apparence, mais une foi réelle et vraie. Quelle nécessité il y a pour nous qui avons beaucoup reçu, de montrer notre religion par nos œuvres, et d’éviter de professer beaucoup par nos paroles, tout en ne possédant rien. Car un jour ou l’autre, cette profession même nous sera ôtée, si c’est tout ce que nous avons. La menace est aussi vraie que la promesse. Béni soit Dieu ! Quand il a commencé à répandre sur nous les grâces de son Esprit, de manière que nous en ayons un peu, il continue à le faire jusqu’à que celui qui n’avait que peu, mais qui possédait vraiment ce peu, soit mis dans l’abondance.

Oh, désirons cette abondance ! Recherchons ardemment l’abondance de grâce. S’il est bon de connaître beaucoup, il est meilleur d’aimer beaucoup. Il est précieux d’avoir abondance de savoir-faire pour servir Dieu, mais il vaut mieux encore avoir abondance de foi pour compter que Dieu nous donnera le savoir-faire en toute occasion. Seigneur, puisque tu m’as donné le sentiment du péché, augmente en moi la haine du mal. Puisque tu m’as donné la foi en Jésus, élève cette foi au degré de parfaite assurance. Tu m’as donné de t’aimer, amène-moi à avoir pour toi une puissante affection.

Charles Spurgeon

Bible en un an: 4 textes bibliques par jour
Jour 167

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(21.1) Au chef des chantres. Psaume de David. (21.2) Éternel ! Le roi se réjouit de ta protection puissante. Oh ! Comme ton secours le remplit d’allégresse !
(21.3) Tu lui as donné ce que désirait son cœur, Et tu n’as pas refusé ce que demandaient ses lèvres. — Pause.
(21.4) Car tu l’as prévenu par les bénédictions de ta grâce, Tu as mis sur sa tête une couronne d’or pur.
(21.5) Il te demandait la vie, tu la lui as donnée, Une vie longue pour toujours et à perpétuité.
(21.6) Sa gloire est grande à cause de ton secours ; Tu places sur lui l’éclat et la magnificence.
(21.7) Tu le rends à jamais un objet de bénédictions, Tu le combles de joie devant ta face.
(21.8) Le roi se confie en l’Éternel ; Et, par la bonté du Très Haut, il ne chancelle pas.
(21.9) Ta main trouvera tous tes ennemis, Ta droite trouvera ceux qui te haïssent.
(21.10) Tu les rendras tels qu’une fournaise ardente, Le jour où tu te montreras ; L’Éternel les anéantira dans sa colère, Et le feu les dévorera.
(21.11) Tu feras disparaître leur postérité de la terre, Et leur race du milieu des fils de l’homme.
(21.12) Ils ont projeté du mal contre toi, Ils ont conçu de mauvais desseins, mais ils seront impuissants.
(21.13) Car tu leur feras tourner le dos, Et avec ton arc tu tireras sur eux.
(21.14) Lève-toi, Éternel, avec ta force ! Nous voulons chanter, célébrer ta puissance.

(22.1) Au chef des chantres. Sur "Biche de l’aurore". Psaume de David. (22.2) Mon Dieu ! Mon Dieu ! Pourquoi m’as-tu abandonné, Et t’éloignes-tu sans me secourir, sans écouter mes plaintes ?
(22.3) Mon Dieu ! Je crie le jour, et tu ne réponds pas ; La nuit, et je n’ai point de repos.
(22.4) Pourtant tu es le Saint, Tu sièges au milieu des louanges d’Israël.
(22.5) En toi se confiaient nos pères ; Ils se confiaient, et tu les délivrais.
(22.6) Ils criaient à toi, et ils étaient sauvés ; Ils se confiaient en toi, et ils n’étaient point confus.
(22.7) Et moi, je suis un ver et non un homme, L’opprobre des hommes et le méprisé du peuple.
(22.8) Tous ceux qui me voient se moquent de moi, Ils ouvrent la bouche, secouent la tête :
(22.9) Recommande-toi à l’Éternel ! L’Éternel le sauvera, Il le délivrera, puisqu’il l’aime ! —
(22.10) Oui, tu m’as fait sortir du sein maternel, Tu m’as mis en sûreté sur les mamelles de ma mère ;
(22.11) Dès le sein maternel j’ai été sous ta garde, Dès le ventre de ma mère tu as été mon Dieu.
(22.12) Ne t’éloigne pas de moi quand la détresse est proche, Quand personne ne vient à mon secours !
(22.13) De nombreux taureaux sont autour de moi, Des taureaux de Basan m’environnent.
(22.14) Ils ouvrent contre moi leur gueule, Semblables au lion qui déchire et rugit.
(22.15) Je suis comme de l’eau qui s’écoule, Et tous mes os se séparent ; Mon cœur est comme de la cire, Il se fond dans mes entrailles.
(22.16) Ma force se dessèche comme l’argile, Et ma langue s’attache à mon palais ; Tu me réduis à la poussière de la mort.
(22.17) Car des chiens m’environnent, Une bande de scélérats rôdent autour de moi, Ils ont percé mes mains et mes pieds.
(22.18) Je pourrais compter tous mes os. Eux, ils observent, ils me regardent ;
(22.19) Ils se partagent mes vêtements, Ils tirent au sort ma tunique.
(22.20) Et toi, Éternel, ne t’éloigne pas ! Toi qui es ma force, viens en hâte à mon secours !
(22.21) Protège mon âme contre le glaive, Ma vie contre le pouvoir des chiens !
(22.22) Sauve-moi de la gueule du lion, Délivre-moi des cornes du buffle !
(22.23) Je publierai ton nom parmi mes frères, Je te célébrerai au milieu de l’assemblée.
(22.24) Vous qui craignez l’Éternel, louez-le ! Vous tous, postérité de Jacob, glorifiez-le ! Tremblez devant lui, vous tous, postérité d’Israël !
(22.25) Car il n’a ni mépris ni dédain pour les peines du misérable, Et il ne lui cache point sa face ; Mais il l’écoute quand il crie à lui.
(22.26) Tu seras dans la grande assemblée l’objet de mes louanges ; J’accomplirai mes vœux en présence de ceux qui te craignent.
(22.27) Les malheureux mangeront et se rassasieront, Ceux qui cherchent l’Éternel le célébreront. Que votre cœur vive à toujours !
(22.28) Toutes les extrémités de la terre penseront à l’Éternel et se tourneront vers lui ; Toutes les familles des nations se prosterneront devant ta face.
(22.29) Car à l’Éternel appartient le règne : Il domine sur les nations.
(22.30) Tous les puissants de la terre mangeront et se prosterneront aussi ; Devant lui s’inclineront tous ceux qui descendent dans la poussière, Ceux qui ne peuvent conserver leur vie.
(22.31) La postérité le servira ; On parlera du Seigneur à la génération future.
(22.32) Quand elle viendra, elle annoncera sa justice, Elle annoncera son œuvre au peuple nouveau-né.

Cantique de David. L’Éternel est mon berger : je ne manquerai de rien.
Il me fait reposer dans de verts pâturages, Il me dirige près des eaux paisibles.
Il restaure mon âme, Il me conduit dans les sentiers de la justice, À cause de son nom.
Quand je marche dans la vallée de l’ombre de la mort, Je ne crains aucun mal, car tu es avec moi : Ta houlette et ton bâton me rassurent.
Tu dresses devant moi une table, En face de mes adversaires ; Tu oins d’huile ma tête, Et ma coupe déborde.
Oui, le bonheur et la grâce m’accompagneront Tous les jours de ma vie, Et j’habiterai dans la maison de l’Éternel Jusqu’à la fin de mes jours.

Que dirons-nous donc ? Demeurerions-nous dans le péché, afin que la grâce abonde ?
Loin de là ! Nous qui sommes morts au péché, comment vivrions-nous encore dans le péché ?
Ignorez-vous que nous tous qui avons été baptisés en Jésus-Christ, c’est en sa mort que nous avons été baptisés ?
Nous avons donc été ensevelis avec lui par le baptême en sa mort, afin que, comme Christ est ressuscité des morts par la gloire du Père, de même nous aussi nous marchions en nouveauté de vie.
En effet, si nous sommes devenus une même plante avec lui par la conformité à sa mort, nous le serons aussi par la conformité à sa résurrection,
sachant que notre vieil homme a été crucifié avec lui, afin que le corps du péché fût détruit, pour que nous ne soyons plus esclaves du péché ;
car celui qui est mort est libre du péché.
Or, si nous sommes morts avec Christ, nous croyons que nous vivrons aussi avec lui,
sachant que Christ ressuscité des morts ne meurt plus ; la mort n’a plus de pouvoir sur lui.
Car il est mort, et c’est pour le péché qu’il est mort une fois pour toutes ; il est revenu à la vie, et c’est pour Dieu qu’il vit.
Ainsi vous-mêmes, regardez-vous comme morts au péché, et comme vivants pour Dieu en Jésus-Christ.
Que le péché ne règne donc point dans votre corps mortel, et n’obéissez pas à ses convoitises.
Ne livrez pas vos membres au péché, comme des instruments d’iniquité ; mais donnez-vous vous-mêmes à Dieu, comme étant vivants de morts que vous étiez, et offrez à Dieu vos membres, comme des instruments de justice.
Car le péché n’aura point de pouvoir sur vous, puisque vous êtes, non sous la loi, mais sous la grâce.
Quoi donc ! Pécherions-nous, parce que nous sommes, non sous la loi, mais sous la grâce ? Loin de là !
Ne savez-vous pas qu’en vous livrant à quelqu’un comme esclaves pour lui obéir, vous êtes esclaves de celui à qui vous obéissez, soit du péché qui conduit à la mort, soit de l’obéissance qui conduit à la justice ?
Mais grâces soient rendues à Dieu de ce que, après avoir été esclaves du péché, vous avez obéi de cœur à la règle de doctrine dans laquelle vous avez été instruits.
Ayant été affranchis du péché, vous êtes devenus esclaves de la justice. —
Je parle à la manière des hommes, à cause de la faiblesse de votre chair. — De même donc que vous avez livré vos membres comme esclaves à l’impureté et à l’iniquité, pour arriver à l’iniquité, ainsi maintenant livrez vos membres comme esclaves à la justice, pour arriver à la sainteté.
Car, lorsque vous étiez esclaves du péché, vous étiez libres à l’égard de la justice.
Quels fruits portiez-vous alors ? Des fruits dont vous rougissez aujourd’hui. Car la fin de ces choses, c’est la mort.
Mais maintenant, étant affranchis du péché et devenus esclaves de Dieu, vous avez pour fruit la sainteté et pour fin la vie éternelle.
Car le salaire du péché, c’est la mort ; mais le don gratuit de Dieu, c’est la vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur.

Ignorez-vous, frères, — car je parle à des gens qui connaissent la loi, — que la loi exerce son pouvoir sur l’homme aussi longtemps qu’il vit ?
Ainsi, une femme mariée est liée par la loi à son mari tant qu’il est vivant ; mais si le mari meurt, elle est dégagée de la loi qui la liait à son mari.
Si donc, du vivant de son mari, elle devient la femme d’un autre homme, elle sera appelée adultère ; mais si le mari meurt, elle est affranchie de la loi, de sorte qu’elle n’est point adultère en devenant la femme d’un autre.
De même, mes frères, vous aussi vous avez été, par le corps de Christ, mis à mort en ce qui concerne la loi, pour que vous apparteniez à un autre, à celui qui est ressuscité des morts, afin que nous portions des fruits pour Dieu.
Car, lorsque nous étions dans la chair, les passions des péchés provoquées par la loi agissaient dans nos membres, de sorte que nous portions des fruits pour la mort.
Mais maintenant, nous avons été dégagés de la loi, étant morts à cette loi sous laquelle nous étions retenus, de sorte que nous servons dans un esprit nouveau, et non selon la lettre qui a vieilli.
Que dirons-nous donc ? La loi est-elle péché ? Loin de là ! Mais je n’ai connu le péché que par la loi. Car je n’aurais pas connu la convoitise, si la loi n’eût dit : Tu ne convoiteras point.
Et le péché, saisissant l’occasion, produisit en moi par le commandement toutes sortes de convoitises ; car sans loi le péché est mort.
Pour moi, étant autrefois sans loi, je vivais ; mais quand le commandement vint, le péché reprit vie, et moi je mourus.
Ainsi, le commandement qui conduit à la vie se trouva pour moi conduire à la mort.
Car le péché saisissant l’occasion, me séduisit par le commandement, et par lui me fit mourir.
La loi donc est sainte, et le commandement est saint, juste et bon.
Ce qui est bon a-t-il donc été pour moi une cause de mort ? Loin de là ! Mais c’est le péché, afin qu’il se manifestât comme péché en me donnant la mort par ce qui est bon, et que, par le commandement, il devînt condamnable au plus haut point.
Nous savons, en effet, que la loi est spirituelle ; mais moi, je suis charnel, vendu au péché.
Car je ne sais pas ce que je fais : je ne fais point ce que je veux, et je fais ce que je hais.
Or, si je fais ce que je ne veux pas, je reconnais par là que la loi est bonne.
Et maintenant ce n’est plus moi qui le fais, mais c’est le péché qui habite en moi.
Ce qui est bon, je le sais, n’habite pas en moi, c’est-à-dire dans ma chair : j’ai la volonté, mais non le pouvoir de faire le bien.
Car je ne fais pas le bien que je veux, et je fais le mal que je ne veux pas.
Et si je fais ce que je ne veux pas, ce n’est plus moi qui le fais, c’est le péché qui habite en moi.
Je trouve donc en moi cette loi : quand je veux faire le bien, le mal est attaché à moi.
Car je prends plaisir à la loi de Dieu, selon l’homme intérieur ;
mais je vois dans mes membres une autre loi, qui lutte contre la loi de mon entendement, et qui me rend captif de la loi du péché, qui est dans mes membres.
Misérable que je suis ! Qui me délivrera du corps de cette mort ?…
Grâces soient rendues à Dieu par Jésus-Christ notre Seigneur !… Ainsi donc, moi-même, je suis par l’entendement esclave de la loi de Dieu, et je suis par la chair esclave de la loi du péché.

Verset du jour

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Psaumes 119.105

Ta parole est une lampe à mes pieds, Et une lumière sur mon sentier.

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