sebomai
Lexique biblique grec-français et français-grec

Strong numéro : 4576 Parcourir le lexique
Mot original Origine du mot
σέβομαι

Vient apparemment d’un verbe primaire

Mot translittéré Entrée du TDNT

sebomai

7:169,1010

Prononciation phonétique Type de mot

(seb’-om-ahee)   

Verbe

Définition :
  1. révérer, adorer.
« sebomai » est traduit dans la Louis Segond 1910 par :

honorer, révérer, pieux, dévot, craignant (Dieu), servir (Dieu) ; 10

Concordance biblique du mot grec « sebomai » :

Matthieu 15.9
C’est en vain qu’ils m ’honorent (sebomai), en enseignant des préceptes qui sont des commandements d’hommes.

Marc 7.7
C’est en vain qu’ils m ’honorent (sebomai), En donnant des préceptes qui sont des commandements d’hommes.

Actes 13.43
et, à l’issue de l’assemblée, beaucoup de Juifs et de prosélytes pieux (sebomai) suivirent Paul et Barnabas, qui s’entretinrent avec eux, et les exhortèrent à rester attachés à la grâce de Dieu.

Actes 13.50
Mais les Juifs excitèrent les femmes dévotes (sebomai) de distinction et les principaux de la ville ; ils provoquèrent une persécution contre Paul et Barnabas, et ils les chassèrent de leur territoire.

Actes 16.14
L’une d’elles, nommée Lydie, marchande de pourpre, de la ville de Thyatire, était une femme craignant (sebomai) Dieu, et elle écoutait . Le Seigneur lui ouvrit   le cœur, pour qu’elle fût attentive à ce que disait Paul.

Actes 17.4
Quelques-uns d’entre eux furent persuadés , et se joignirent   à Paul et à Silas, ainsi qu’une grande multitude de Grecs craignant Dieu (sebomai) , et beaucoup de femmes de qualité.

Actes 17.17
Il s’entretenait donc dans la synagogue avec les Juifs et les hommes craignant Dieu (sebomai), et sur la place publique chaque jour avec ceux qu’il rencontrait .

Actes 18.7
Et sortant de là, il entra chez un nommé  Justus, homme craignant (sebomai) Dieu, et dont la maison était contiguë   à la synagogue.

Actes 18.13
en disant : Cet homme excite les gens à servir (sebomai) Dieu d’une manière contraire à la loi.

Actes 19.27
Le danger qui en résulte, ce n’est pas seulement que notre industrie ne tombe en discrédit ; c’est encore que le temple de la grande déesse Diane ne soit tenu pour rien, et même que la majesté de celle qui est révérée (sebomai) dans toute l’Asie et dans le monde entier ne soit réduite à néant  .