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Verset du jour - Les trésors de la foi

« Comme les oiseaux volent que leurs petits, ainsi l’Éternel des armées garantira Jérusalem. » Ésaïe 31.5

Sans perdre aucun temps sur la route, la mère se hâte vers son nid ; pour apporter la nourriture à sa couvée, et lorsqu’elle sent ses petits en danger, elle accourt aussitôt pour les protéger. De même, pour porter secours à ses élus, le Seigneur viendra comme sur des ailes d’aigle ; même il montera sur les ailes du vent. Le mère étend ensuite ses ailes sur le nid pour couvrir ses poussins ; elle les cache de son propre corps, leur communique sa chaleur et les couvre de manière à leur faire un abri. L’Éternel agit ainsi pour protéger ses enfants. Il veut être lui-même leur refuge, leur demeure, leur tout. Par lui nous serons nourris, par lui réchauffés, par lui préservés du mal. Le Seigneur qui, lui-même, se compare icône à ces oiseaux, n’est pas semblable à eux dans leur faiblesse, car il est l’Éternel des armées.

Réjouissons-nous dans cette pensée que son amour tout-puissant sera prompt à nous secourir et fidèle à nous garder. L’aile de Dieu est plus rapide et plus tendre que celle d’aucune mère, et nous nous placerons avec confiance sous son ombre protectrice.

« Pour nous brûle son cœur, ce cœur tendre et fidèle ;
Nous sommes ses poussins, qu’il couvre de son aile ;
Notre impuissance enfin fait notre sûreté :
Qui ne veut rien sans lui, peut tout en sa bonté. »

Charles Spurgeon

Bible en un an: 4 textes bibliques par jour
Jour 352

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(2.2) Le destructeur marche contre toi. Garde la forteresse ! Veille sur la route ! Affermis tes reins ! Recueille toute ta force !…
(2.3) Car l’Éternel rétablit la gloire de Jacob Et la gloire d’Israël, Parce que les pillards les ont pillés Et ont détruit leurs ceps….
(2.4) Les boucliers de ses héros sont rouges, Les guerriers sont vêtus de pourpre ; Avec le fer qui étincelle apparaissent les chars, Au jour qu’il a fixé pour la bataille, Et les lances sont agitées.
(2.5) Les chars s’élancent dans la campagne, Se précipitent sur les places ; À les voir, on dirait des flambeaux, Ils courent comme des éclairs…
(2.6) Ils se souvient de ses vaillants hommes, Mais ils chancellent dans leur marche ; On se hâte vers les murs, Et l’on se prépare à la défense….
(2.7) Les portes des fleuves sont ouvertes, Et le palais s’écroule !…
(2.8) C’en est fait : elle est mise à nu, elle est emmenée ; Ses servantes gémissent comme des colombes, Et se frappent la poitrine.
(2.9) Ninive était jadis comme un réservoir plein d’eau…. Les voilà qui fuient…. Arrêtez ! Arrêtez !… Mais nul ne se retourne….
(2.10) Pillez l’argent ! Pillez l’or ! Il y a des trésors sans fin, Des richesses en objets précieux de toutes espèce.
(2.11) On pille, on dévaste, on ravage ! Et les cœurs sont abattus, Les genoux chancellent, Tous les reins souffrent, Tous les visages pâlissent.
(2.12) Qu’est devenu ce repaire de lions, Ce pâturage des lionceaux, Où se retiraient le lion, la lionne, le petit du lion, Sans qu’il y eût personne pour les troubler ?
(2.13) Le lion déchirait pour ses petits, étranglait pour ses lionnes ; Il remplissait de proie ses antres, De dépouilles ses repaires.
(2.14) Voici, j’en veux à toi, dit l’Éternel des armées ; Je réduirai tes chars en fumée, L’épée dévorera tes lionceaux, J’arracherai du pays ta proie, Et l’on n’entendra plus la voix de tes messagers.

Malheur à la ville sanguinaire, Pleine de mensonge, pleine de violence, Et qui ne cesse de se livrer à la rapine !…
On entend le bruit du fouet, Le bruit des roues, Le galop des chevaux, Le roulement des chars.
Les cavaliers s’élancent, l’épée étincelle, la lance brille… Une multitude de blessés !… une foule de cadavres !… Des morts à l’infini !… On tombe sur les morts !…
C’est à cause des nombreuses prostitutions de la prostituée, Pleine d’attraits, habile enchanteresse, Qui vendait les nations par ses prostitutions Et les peuples par ses enchantements.
Voici, j’en veux à toi, dit l’Éternel des armées, Je relèverai tes pans jusque sur ton visage, Je montrerai ta nudité aux nations, Et ta honte aux royaumes.
Je jetterai sur toi des impuretés, je t’avilirai, Et je te donnerai en spectacle.
Tous ceux qui te verront fuiront loin de toi, Et l’on dira : Ninive est détruite ! Qui la plaindra ? Où te chercherai-je des consolateurs ?
Es-tu meilleure que No Amon, Qui était assise au milieu des fleuves, Entourée par les eaux, Ayant la mer pour rempart, La mer pour murailles ?
L’Éthiopie et les Égyptiens innombrables faisaient sa force, Puth et les Libyens étaient ses auxiliaires.
Et cependant elle est partie pour l’exil, elle s’en est allée captive ; Ses enfants ont été écrasés au coin de toutes les rues ; On a jeté le sort sur ses nobles, Et tous ses grands ont été chargés de chaînes.
Toi aussi, tu seras enivrée, tu te cacheras ; Toi aussi, tu chercheras un refuge contre l’ennemi.
Toutes tes forteresses Sont des figuiers avec les primeurs ; Quand on les secoue, Elles tombent dans la bouche de qui veut les manger.
Voici, ton peuple, ce sont des femmes au milieu de toi ; Les portes de ton pays s’ouvrent à tes ennemis ; le feu consume tes verrous.
Puise de l’eau pour le siège ! Répare tes forteresses ! Entre dans la boue, foule l’argile ! Rétablis le four à briques !
Là, le feu te dévorera, L’épée t’exterminera, Te dévorera comme des sauterelles. Entasse-toi comme les sauterelles ! Entasse-toi comme les sauterelles !
Tes marchands, plus nombreux Que les étoiles du ciel, Sont comme la sauterelle qui ouvre les ailes et s’envole.
Tes princes sont comme les sauterelles, Tes chefs comme une multitude de sauterelles, Qui se posent sur les haies au temps de la froidure : Le soleil paraît, elles s’envolent, Et l’on ne connaît plus le lieu où elles étaient.
Tes bergers sommeillent, roi d’Assyrie, Tes vaillants hommes reposent ; Ton peuple est dispersé sur les montagnes, Et nul ne le rassemble.
Il n’y a point de remède à ta blessure, Ta plaie est mortelle. Tous ceux qui entendront parler de toi Battront des mains sur toi ; Car quel est celui que ta méchanceté n’a pas atteint ?

Voyez quel amour le Père nous a témoigné, pour que nous soyons appelés enfants de Dieu ! Et nous le sommes. Si le monde ne nous connaît pas, c’est qu’il ne l’a pas connu.
Bien-aimés, nous sommes maintenant enfants de Dieu, et ce que nous serons n’a pas encore été manifesté ; mais nous savons que, lorsque cela sera manifesté, nous serons semblables à lui, parce que nous le verrons tel qu’il est.
Quiconque a cette espérance en lui se purifie, comme lui-même est pur.
Quiconque pèche transgresse la loi, et le péché est la transgression de la loi.
Or, vous le savez, Jésus a paru pour ôter les péchés, et il n’y a point en lui de péché.
Quiconque demeure en lui ne pèche point ; quiconque pèche ne l’a pas vu, et ne l’a pas connu.
Petits enfants, que personne ne vous séduise. Celui qui pratique la justice est juste, comme lui-même est juste.
Celui qui pèche est du diable, car le diable pèche dès le commencement. Le Fils de Dieu a paru afin de détruire les œuvres du diable.
Quiconque est né de Dieu ne pratique pas le péché, parce que la semence de Dieu demeure en lui ; et il ne peut pécher, parce qu’il est né de Dieu.
C’est par là que se font reconnaître les enfants de Dieu et les enfants du diable. Quiconque ne pratique pas la justice n’est pas de Dieu, non plus que celui qui n’aime pas son frère.
Car ce qui vous a été annoncé et ce que vous avez entendu dès le commencement, c’est que nous devons nous aimer les uns les autres,
et ne pas ressembler à Caïn, qui était du malin, et qui tua son frère. Et pourquoi le tua-t-il ? Parce que ses œuvres étaient mauvaises, et que celles de son frère étaient justes.
Ne vous étonnez pas, frères, si le monde vous hait.
Nous savons que nous sommes passés de la mort à la vie, parce que nous aimons les frères. Celui qui n’aime pas demeure dans la mort.
Quiconque hait son frère est un meurtrier, et vous savez qu’aucun meurtrier n’a la vie éternelle demeurant en lui.
Nous avons connu l’amour, en ce qu’il a donné sa vie pour nous ; nous aussi, nous devons donner notre vie pour les frères.
Si quelqu’un possède les biens du monde, et que, voyant son frère dans le besoin, il lui ferme ses entrailles, comment l’amour de Dieu demeure-t-il en lui ?
Petits enfants, n’aimons pas en paroles et avec la langue, mais en actions et avec vérité.
Par là nous connaîtrons que nous sommes de la vérité, et nous rassurerons nos cœurs devant lui ;
car si notre cœur nous condamne, Dieu est plus grand que notre cœur, et il connaît toutes choses.
Bien-aimés, si notre cœur ne nous condamne pas, nous avons de l’assurance devant Dieu.
Quoi que ce soit que nous demandions, nous le recevons de lui, parce que nous gardons ses commandements et que nous faisons ce qui lui est agréable.
Et c’est ici son commandement : que nous croyions au nom de son Fils Jésus-Christ, et que nous nous aimions les uns les autres, selon le commandement qu’il nous a donné.
Celui qui garde ses commandements demeure en Dieu, et Dieu en lui ; et nous connaissons qu’il demeure en nous par l’Esprit qu’il nous a donné.

Bien-aimés, n’ajoutez pas foi à tout esprit ; mais éprouvez les esprits, pour savoir s’ils sont de Dieu, car plusieurs faux prophètes sont venus dans le monde.
Reconnaissez à ceci l’Esprit de Dieu : tout esprit qui confesse Jésus-Christ venu en chair est de Dieu ;
et tout esprit qui ne confesse pas Jésus n’est pas de Dieu, c’est celui de l’antéchrist, dont vous avez appris la venue, et qui maintenant est déjà dans le monde.
Vous, petits enfants, vous êtes de Dieu, et vous les avez vaincus, parce que celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde.
Eux, ils sont du monde ; c’est pourquoi ils parlent d’après le monde, et le monde les écoute.
Nous, nous sommes de Dieu ; celui qui connaît Dieu nous écoute ; celui qui n’est pas de Dieu ne nous écoute pas : c’est par là que nous connaissons l’esprit de la vérité et l’esprit de l’erreur.
Bien-aimés, aimons nous les uns les autres ; car l’amour est de Dieu, et quiconque aime est né de Dieu et connaît Dieu.
Celui qui n’aime pas n’a pas connu Dieu, car Dieu est amour.
L’amour de Dieu a été manifesté envers nous en ce que Dieu a envoyé son Fils unique dans le monde, afin que nous vivions par lui.
Et cet amour consiste, non point en ce que nous avons aimé Dieu, mais en ce qu’il nous a aimés et a envoyé son Fils comme victime expiatoire pour nos péchés.
Bien-aimés, si Dieu nous a ainsi aimés, nous devons aussi nous aimer les uns les autres.
Personne n’a jamais vu Dieu ; si nous nous aimons les uns les autres, Dieu demeure en nous, et son amour est parfait en nous.
Nous connaissons que nous demeurons en lui, et qu’il demeure en nous, en ce qu’il nous a donné de son Esprit.
Et nous, nous avons vu et nous attestons que le Père a envoyé le Fils comme Sauveur du monde.
Celui qui confessera que Jésus est le Fils de Dieu, Dieu demeure en lui, et lui en Dieu.
Et nous, nous avons connu l’amour que Dieu a pour nous, et nous y avons cru. Dieu est amour ; et celui qui demeure dans l’amour demeure en Dieu, et Dieu demeure en lui.
Tel il est, tels nous sommes aussi dans ce monde : c’est en cela que l’amour est parfait en nous, afin que nous ayons de l’assurance au jour du jugement.
La crainte n’est pas dans l’amour, mais l’amour parfait bannit la crainte ; car la crainte suppose un châtiment, et celui qui craint n’est pas parfait dans l’amour.
Pour nous, nous l’aimons, parce qu’il nous a aimés le premier.
Si quelqu’un dit : J’aime Dieu, et qu’il haïsse son frère, c’est un menteur ; car celui qui n’aime pas son frère qu’il voit, comment peut-il aimer Dieu qu’il ne voit pas ?
Et nous avons de lui ce commandement : que celui qui aime Dieu aime aussi son frère.

Verset du jour

SELECT v.livre, v.chapitre, v.verset, L.Texte, C.NomCourt FROM vod AS v INNER JOIN Correspondance AS C ON C.Livre = v.livre INNER JOIN LSG AS L ON v.livre = L.Livre AND v.chapitre = L.chapitre AND v.verset = L.verset WHERE v.id = 12

Psaumes 130.5

J’espère en l’Éternel, mon âme espère, Et j’attends sa promesse.

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