tseba`
Lexique hébreu-français et français-hébreu

Strong numéro : 6647 Parcourir le lexique
Mot original Origine du mot
צְבַע

(Araméen) Une racine correspondant à celle de 6648

Mot translittéré Entrée du TWOT

tseba`

2954

Prononciation phonétique Type de mot

(tseb-ah’)   

Verbe

Définition :
  1. plonger, mouiller (quelque chose)
    1. (Pael) mouiller
    2. (Itpael) être mouillé
« tseba` » est traduit dans la Louis Segond 1910 par :

être trempé 5 ; 5

Concordance biblique du mot hébreu « tseba` » :

Daniel 4.15
Mais laissez en terre le tronc où se trouvent les racines, et liez-le avec des chaînes de fer et d’airain, parmi l’herbe des champs. Qu’il soit trempé (tseba`) de la rosée du ciel, et qu’il ait, comme les bêtes, l’herbe de la terre pour partage.

Daniel 4.23
Le roi a vu l’un de ceux qui veillent et qui sont saints descendre des cieux et dire : Abattez l’arbre, et détruisez -le ; mais laissez en terre le tronc où se trouvent les racines, et liez-le avec des chaînes de fer et d’airain, parmi l’herbe des champs ; qu’il soit trempé (tseba`) de la rosée du ciel, et que son partage soit avec les bêtes des champs, jusqu’à ce que sept temps soient passés sur lui.

Daniel 4.25
On te chassera du milieu des hommes, tu auras ta demeure avec   les bêtes des champs, et l’on te donnera comme aux bœufs de l’herbe à manger ; tu seras trempé (tseba`)   de la rosée du ciel, et sept temps passeront sur toi, jusqu’à ce que tu saches que le Très-Haut domine sur le règne des hommes et qu’il le donne à qui il lui plaît.

Daniel 4.33
Au même instant la parole s’accomplit sur Nebucadnetsar. Il fut chassé du milieu des hommes, il mangea de l’herbe comme les bœufs, Son corps fut trempé (tseba`) de la rosée du ciel ; jusqu’à ce que ses cheveux crussent comme les plumes des aigles, et ses ongles comme ceux des oiseaux.

Daniel 5.21
il fut chassé du milieu des enfants des hommes, son cœur devint semblable à celui des bêtes, et sa demeure fut avec les ânes sauvages ; on lui donna comme aux bœufs de l’herbe à manger, et son corps fut trempé (tseba`) de la rosée du ciel, jusqu’à ce qu’il reconnût que le Dieu suprême domine sur le règne des hommes et qu’il le donne à qui il lui plaît.