michyah
Lexique hébreu-français et français-hébreu

Strong numéro : 4241 Parcourir le lexique
Mot original Origine du mot
מִחְיָה

Vient de 2421

Mot translittéré Entrée du TWOT

michyah

644h

Prononciation phonétique Type de mot

(mikh-yaw’)   

Nom féminin

Définition :
  1. préservation de la vie, entretien
    1. faire revivre
      1d) le vif de la chair, chair tendre ou crue
« michyah » est traduit dans la Louis Segond 1910 par :

sauver la vie, trace, vivres, entretien,... ; 8

Concordance biblique du mot hébreu « michyah » :

Genèse 45.5
Maintenant, ne vous affligez pas, et ne soyez pas fâchés de m’avoir vendu   pour être conduit ici, car c’est pour vous sauver la vie (michyah) que Dieu m’a envoyé devant vous.

Lévitique 13.10
Le sacrificateur l’examinera. S’il y a sur la peau une tumeur blanche, si cette tumeur a fait   blanchir le poil, et qu’il y ait une trace (michyah) de chair vive dans la tumeur,

Lévitique 13.24
Lorsqu’un homme aura eu sur la peau de son corps une brûlure par le feu, et qu’il se manifestera sur la trace (michyah) de la brûlure une tache blanche ou d’un blanc rougeâtre,

Juges 6.4
Ils campaient en face de lui, détruisaient les productions du pays jusque vers Gaza, et ne laissaient en Israël ni vivres (michyah), ni brebis, ni bœufs, ni ânes.

Juges 17.10
Mica lui dit : Reste avec moi; tu me serviras de père et de prêtre, et je te donnerai dix sicles d’argent par année, les vêtements dont tu auras besoin, et ton entretien (michyah). Et le Lévite entra.

2 Chroniques 14.13
(14.12) Asa et le peuple qui était avec lui les poursuivirent jusqu’à Guérar, et les Éthiopiens tombèrent sans pouvoir sauver (michyah) leur vie, car ils furent détruits par l’Éternel et par son armée. Asa et son peuple firent un très grand butin ;

Esdras 9.8
Et cependant l’Éternel, notre Dieu, vient de nous faire grâce en nous laissant quelques réchappés et en nous accordant un abri dans son saint lieu, afin d’éclaircir   nos yeux et de nous donner un peu de vie (michyah) au milieu de notre servitude.

Esdras 9.9
Car nous sommes esclaves, mais Dieu ne nous a pas abandonnés dans notre servitude. Il nous a rendus les objets de la bienveillance des rois de Perse, pour nous conserver la vie (michyah) afin que nous puissions bâtir la maison de notre Dieu et en relever les ruines, et pour nous donner une retraite en Juda et à Jérusalem.