’iggereth
Lexique hébreu-français et français-hébreu

Strong numéro : 107 Parcourir le lexique
Mot original Origine du mot
אִגֶּרֶת

Vient de 104

Mot translittéré Entrée du TWOT

’iggereth

23b

Prononciation phonétique Type de mot

(ig-eh’-reth)   

Nom féminin

Définition :
  1. lettre, missive
« ’iggereth » est traduit dans la Louis Segond 1910 par :

lettre(s) 10 ; 10

Concordance biblique du mot hébreu « ’iggereth » :

2 Chroniques 30.1
Ezéchias envoya des messagers dans tout Israël et Juda, et il écrivit aussi des lettres (’iggereth) à Ephraïm et à Manassé, pour qu’ils vinssent à la maison de l’Éternel à Jérusalem célébrer la Pâque en l’honneur de l’Éternel, le Dieu d’Israël.

2 Chroniques 30.6
Les coureurs allèrent avec les lettres (’iggereth) du roi et de ses chefs dans tout Israël et Juda. Et, d’après l’ordre du roi, ils dirent : Enfants d’Israël, Revenez à l’Éternel, le Dieu d’Abraham, d’Isaac et d’Israël, afin qu’il revienne   à vous, reste échappé de la main des rois d’Assyrie.

Néhémie 2.7
Puis je dis au roi : Si le roi le trouve bon, qu’on me donne des lettres (’iggereth) pour les gouverneurs de l’autre côté du fleuve, afin qu’ils me laissent passer et entrer   en Juda,

Néhémie 2.8
et une lettre (’iggereth) pour Asaph, garde forestier du roi, afin qu’il me fournisse du bois de charpente pour les portes de la citadelle près de la maison, pour la muraille de la ville, et pour la maison que j’occuperai. Le roi me donna ces lettres, car la bonne main de mon Dieu  était sur moi.

Néhémie 2.9
Je me rendis auprès des gouverneurs de l’autre côté du fleuve, et je leur remis les lettres (’iggereth) du roi, qui m’avait fait accompagner Par des chefs de l’armée et par des cavaliers.

Néhémie 6.5
Sanballat m’envoya ce message une cinquième fois par son serviteur, qui tenait à la main une lettre (’iggereth) ouverte.

Néhémie 6.17
Dans ce temps -là, il y avait aussi des grands de Juda qui adressaient fréquemment des lettres (’iggereth) à Tobija et qui en recevaient de lui.

Néhémie 6.19
Ils disaient même du bien de lui en ma présence, et ils lui rapportaient mes paroles. Tobija envoyait des lettres (’iggereth) pour m’effrayer.

Esther 9.26
C’est pourquoi on appela ces jours Purim, du nom de pur. D’après tout le contenu de cette lettre (’iggereth), d’après ce qu’ils avaient eux-mêmes vu et ce qui leur était arrivé,

Esther 9.29
La reine Esther, fille d’Abichaïl, et le Juif Mardochée écrivirent d’une manière pressante une seconde fois pour confirmer la lettre (’iggereth) sur les Purim.