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Verset du jour - Les trésors de la foi

« Le juste marchera dans son intégrité ; heureux ses enfants après lui ! » Proverbes 20.7

Nous préoccuper au sujet de notre famille peut être naturel, mais nous ferons bien de reporter ce soin sur notre propre caractère. Si nous marchons devant le Seigneur en intégrité, nous ferons plus pour nos enfants qu’en leur acquérant une fortune. La sainteté de la vie d’un père est le plus bel héritage de ses fils. Le juste laisse à ses enfants son exemple, qui sera la plus riche source de bien-être véritable. Combien attribuent les succès de leur vie à l’exemple reçu de leurs parents ! Il leur laisse aussi sa réputation. Les hommes ont de nous une opinion d’autant meilleure que nous sommes les fils d’un homme sur qui l’on pouvait compter, les successeurs d’un commerçant d’excellente réputation. Oh, si tous les jeunes gens étaient soucieux de conserver intact le nom de leur famille ! Par-dessus tout, il leur laisse ses prières et la bénédiction du Dieu qui les exauce. C’est ce qui fait que sa prospérité est favorisée parmi les fils des hommes.

Dieu sauvera nos enfants même après notre mort. Oh, puissent-ils l’être dès maintenant ! Notre intégrité peut être le moyen de sauver nos fils et nos filles. S’ils voient dans nos vies la réalité de notre religion, ils seront conduits à croire en Jésus pour eux-mêmes. Seigneur, accomplis ta promesse pour ma maison !

Charles Spurgeon

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Jour 116

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Benjamin engendra Béla, son premier-né, Aschbel le second, Achrach le troisième,
Nocha le quatrième, et Rapha le cinquième.
Les fils de Béla furent : Addar, Guéra, Abihud,
Abischua, Naaman, Achoach,
Guéra, Schephuphan et Huram.
Voici les fils d’échud, qui étaient chefs de famille parmi les habitants de Guéba, et qui les transportèrent à Manachath :
Naaman, Achija et Guéra. Guéra, qui les transporta, engendra Uzza et Achichud.
Schacharaïm eut des enfants au pays de Moab, après qu’il eut renvoyé Huschim et Baara, ses femmes.
Il eut de Hodesch, sa femme : Jobab, Tsibja, Méscha, Malcam,
Jeuts, Schocja et Mirma. Ce sont là ses fils, chefs de famille.
Il eut de Huschim : Abithub et Elpaal.
Fils d’Elpaal : Éber, Mischeam, et Schémer, qui bâtit Ono, Lod et les villes de son ressort.
Beria et Schéma, qui étaient chefs de famille parmi les habitants d’Ajalon, mirent en fuite les habitants de Gath.
Achjo, Schaschak, Jerémoth,
Zebadja, Arad, Éder,
Micaël, Jischpha et Jocha étaient fils de Beria. —
Zebadja, Meschullam, Hizki, Héber,
Jischmeraï, Jizlia et Jobab étaient fils d’Elpaal. —
Jakim, Zicri, Zabdi,
Éliénaï, Tsilthaï, Éliel,
Adaja, Beraja et Schimrath étaient fils de Schimeï. —
Jischpan, Éber, Éliel,
Abdon, Zicri, Hanan,
Hanania, Élam, Anthothija,
Jiphdeja et Penuel étaient fils de Schaschak. —
Schamscheraï, Schecharia, Athalia,
Jaaréschia, Élija et Zicri étaient fils de Jerocham. —
Ce sont là des chefs de famille, chefs selon leurs générations. Ils habitaient à Jérusalem.
Le père de Gabaon habitait à Gabaon, et le nom de sa femme était Maaca.
Abdon, son fils premier-né, puis Tsur, Kis, Baal, Nadab,
Guedor, Achjo, et Zéker.
Mikloth engendra Schimea. Ils habitaient aussi à Jérusalem près de leurs frères, avec leurs frères. —
Ner engendra Kis ; Kis engendra Saül ; Saül engendra Jonathan, Malki Schua, Abinadab et Eschbaal.
Fils de Jonathan : Merib Baal. Merib Baal engendra Michée.
Fils de Michée : Pithon, Mélec, Thaeréa et Achaz.
Achaz engendra Jehoadda ; Jehoadda engendra Alémeth, Azmaveth et Zimri ; Zimri engendra Motsa ;
Motsa engendra Binea. Rapha, son fils ; éleasa, son fils ; Atsel, son fils ;
Atsel eut six fils, dont voici les noms : Azrikam, Bocru, Ismaël, Schearia, Abdias et Hanan. Tous ceux-là étaient fils d’Atsel. —
Fils d’Éschek, son frère : Ulam, son premier-né, Jéusch le second, et Éliphéleth le troisième.
Les fils d’Ulam furent de vaillants hommes, tirant de l’arc ; et ils eurent beaucoup de fils et de petits-fils, cent cinquante. Tous ceux-là sont des fils de Benjamin.

Tout Israël est enregistré dans les généalogies et inscrit dans le livre des rois d’Israël. Et Juda fut emmené captif à Babylone, à cause de ses infidélités.
Les premiers habitants qui demeuraient dans leurs possessions, dans leurs villes, étaient les Israélites, les sacrificateurs, les Lévites, et les Néthiniens.
À Jérusalem habitaient des fils de Juda, des fils de Benjamin, et des fils d’Éphraïm et de Manassé. —
Des fils de Pérets, fils de Juda : Uthaï, fils d’Ammihud, fils d’Omri, fils d’Imri, fils de Bani.
Des Schilonites : Asaja, le premier-né, et ses fils.
Des fils de Zérach : Jeuel, et ses frères, six cent quatre-vingt-dix. —
Des fils de Benjamin : Sallu, fils de Meschullam, fils d’Hodavia, fils d’Assenua ;
Jibneja, fils de Jerocham ; Éla, fils d’Uzzi, fils de Micri ; Meschullam, fils de Schephathia, fils de Reuel, fils de Jibnija ;
et leurs frères, selon leurs générations, neuf cent cinquante-six. Tous ces hommes étaient chefs de famille dans les maisons de leurs pères.
Des sacrificateurs : Jedaeja ; Jehojarib ; Jakin ;
Azaria, fils de Hilkija, fils de Meschullam, fils de Tsadok, fils de Merajoth, fils d’Achithub, prince de la maison de Dieu ;
Adaja, fils de Jerocham, fils de Paschhur, fils de Malkija ; Maesaï, fils d’Adiel, fils de Jachzéra, fils de Meschullam, fils de Meschillémith, fils d’Immer ;
et leurs frères, chefs des maisons de leurs pères, mille sept cent soixante, hommes vaillants, occupés au service de la maison de Dieu.
Des Lévites : Schemaeja, fils de Haschub, fils d’Azrikam, fils de Haschabia, des fils de Merari ;
Bakbakkar ; Héresch ; Galal ; Matthania, fils de Michée, fils de Zicri, fils d’Asaph ;
Abdias, fils de Schemaeja, fils de Galal, fils de Jeduthun ; Bérékia, fils d’Asa, fils d’Elkana, qui habitait dans les villages des Nethophathiens.
Et les portiers : Schallum, Akkub, Thalmon, Achiman, et leurs frères ; Schallum était le chef,
et jusqu’à présent il est à la porte du roi, à l’orient. Ce sont là les portiers pour le camp des fils de Lévi.
Schallum, fils de Koré, fils d’ébiasaph, fils de Koré, et ses frères de la maison de son père, les Koréites, remplissaient les fonctions de gardiens des seuils de la tente ; leurs pères avaient gardé l’entrée du camp de l’Éternel,
et Phinées, fils d’Éléazar, avait été autrefois leur chef, et l’Éternel était avec lui.
Zacharie, fils de Meschélémia, était portier à l’entrée de la tente d’assignation.
Ils étaient en tout deux cent douze, choisis pour portiers des seuils, et enregistrés dans les généalogies d’après leurs villages ; David et Samuel le voyant les avaient établis dans leurs fonctions.
Eux et leurs enfants gardaient les portes de la maison de l’Éternel, de la maison de la tente.
Il y avait des portiers aux quatre vents, à l’orient, à l’occident, au nord et au midi.
Leurs frères, qui demeuraient dans leurs villages, devaient de temps à autre venir auprès d’eux pendant sept jours.
Car ces quatre chefs des portiers, ces Lévites, étaient toujours en fonctions, et ils avaient encore la surveillance des chambres et des trésors de la maison de Dieu ;
ils passaient la nuit autour de la maison de Dieu, dont ils avaient la garde, et qu’ils devaient ouvrir chaque matin.
Quelques-uns des Lévites prenaient soin des ustensiles du service, qu’ils rentraient en les comptant et sortaient en les comptant.
D’autres veillaient sur les ustensiles, sur tous les ustensiles du sanctuaire, et sur la fleur de farine, le vin, l’huile, l’encens et les aromates.
C’étaient des fils de sacrificateurs qui composaient les parfums aromatiques.
Matthithia, l’un des Lévites, premier-né de Schallum le Koréite, s’occupait des gâteaux cuits sur la plaque.
Et quelques-uns de leurs frères, parmi les Kehathites, étaient chargés de préparer pour chaque sabbat les pains de proposition.
Ce sont là les chantres, chefs de famille des Lévites, demeurant dans les chambres, exempts des autres fonctions parce qu’ils étaient à l’œuvre jour et nuit.
Ce sont là les chefs de famille des Lévites, chefs selon leurs générations. Ils habitaient à Jérusalem.
Le père de Gabaon, Jeïel, habitait à Gabaon, et le nom de sa femme était Maaca.
Abdon, son fils premier-né, puis Tsur, Kis, Baal, Ner, Nadab,
Guedor, Achjo, Zacharie et Mikloth.
Mikloth engendra Schimeam. Ils habitaient aussi à Jérusalem près de leurs frères, avec leurs frères. —
Ner engendra Kis ; Kis engendra Saül ; Saül engendra Jonathan, Malki Schua, Abinadab et Eschbaal.
Fils de Jonathan : Merib Baal. Merib Baal engendra Michée.
Fils de Michée : Pithon, Mélec, et Thachréa.
Achaz engendra Jaera ; Jaera engendra Alémeth, Azmaveth et Zimri ; Zimri engendra Motsa ; Motsa engendra Binea.
Rephaja, son fils ; éleasa, son fils ; Atsel, son fils.
Atsel eut six fils, dont voici les noms : Azrikam, Bocru, Ismaël, Scheari, Abdias et Hanan. Ce sont là les fils d’Atsel.

Les Philistins livrèrent bataille à Israël, et les hommes d’Israël prirent la fuite devant les Philistins et tombèrent morts sur la montagne de Guilboa.
Les Philistins poursuivirent Saül et ses fils, et tuèrent Jonathan, Abinadab et Malki Schua, fils de Saül.
L’effort du combat porta sur Saül ; les archers l’atteignirent et le blessèrent.
Saül dit alors à celui qui portait ses armes : Tire ton épée, et transperce-m’en, de peur que ces incirconcis ne viennent me faire subir leurs outrages. Celui qui portait ses armes ne voulut pas, car il était saisi de crainte. Et Saül prit son épée, et se jeta dessus.
Celui qui portait les armes de Saül, le voyant mort, se jeta aussi sur son épée, et mourut.
Ainsi périrent Saül et ses trois fils, et toute sa maison périt en même temps.
Tous ceux d’Israël qui étaient dans la vallée, ayant vu qu’on avait fui et que Saül et ses fils étaient morts, abandonnèrent leurs villes pour prendre aussi la fuite. Et les Philistins allèrent s’y établir.
Le lendemain, les Philistins vinrent pour dépouiller les morts, et ils trouvèrent Saül et ses fils tombés sur la montagne de Guilboa.
Ils le dépouillèrent, et emportèrent sa tête et ses armes. Puis ils firent annoncer ces bonnes nouvelles par tout le pays des Philistins à leurs idoles et au peuple.
Ils mirent les armes de Saül dans la maison de leur dieu, et ils attachèrent son crâne dans le temple de Dagon.
Tout Jabès en Galaad ayant appris tout ce que les Philistins avaient fait à Saül,
tous les hommes vaillants se levèrent, prirent le corps de Saül et ceux de ses fils, et les transportèrent à Jabès. Ils enterrèrent leur os sous le térébinthe, à Jabès, et ils jeûnèrent sept jours.
Saül mourut, parce qu’il se rendit coupable d’infidélité envers l’Éternel, dont il n’observa point la parole, et parce qu’il interrogea et consulta ceux qui évoquent les morts.
Il ne consulta point l’Éternel ; alors l’Éternel le fit mourir, et transféra la royauté à David, fils d’Isaï.

Lorsqu’ils approchèrent de Jérusalem, et qu’ils furent arrivés à Bethphagé, vers la montagne des Oliviers, Jésus envoya deux disciples,
en leur disant : Allez au village qui est devant vous ; vous trouverez aussitôt une ânesse attachée, et un ânon avec elle ; détachez-les, et amenez-les-moi.
Si, quelqu’un vous dit quelque chose, vous répondrez : Le Seigneur en a besoin. Et à l’instant il les laissera aller.
Or, ceci arriva afin que s’accomplît ce qui avait été annoncé par le prophète :
Dites à la fille de Sion : Voici, ton roi vient à toi, Plein de douceur, et monté sur un âne, Sur un ânon, le petit d’une ânesse.
Les disciples allèrent, et firent ce que Jésus leur avait ordonné.
Ils amenèrent l’ânesse et l’ânon, mirent sur eux leurs vêtements, et le firent asseoir dessus.
La plupart des gens de la foule étendirent leurs vêtements sur le chemin ; d’autres coupèrent des branches d’arbres, et en jonchèrent la route.
Ceux qui précédaient et ceux qui suivaient Jésus criaient : Hosanna au Fils de David ! Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur ! Hosanna dans les lieux très hauts !
Lorsqu’il entra dans Jérusalem, toute la ville fut émue, et l’on disait : Qui est celui-ci ?
La foule répondait : C’est Jésus, le prophète, de Nazareth en Galilée.
Jésus entra dans le temple de Dieu. Il chassa tous ceux qui vendaient et qui achetaient dans le temple ; il renversa les tables des changeurs, et les sièges des vendeurs de pigeons.
Et il leur dit : Il est écrit : Ma maison sera appelée une maison de prière. Mais vous, vous en faites une caverne de voleurs.
Des aveugles et des boiteux s’approchèrent de lui dans le temple. Et il les guérit.
Mais les principaux sacrificateurs et les scribes furent indignés, à la vue des choses merveilleuses qu’il avait faites, et des enfants qui criaient dans le temple : Hosanna au Fils de David !
Ils lui dirent : Entends-tu ce qu’ils disent ? Oui, leur répondit Jésus. N’avez-vous jamais lu ces paroles : Tu as tiré des louanges de la bouche des enfants et de ceux qui sont à la mamelle ?
Et, les ayant laissés, il sortit de la ville pour aller à Béthanie, où il passa la nuit.
Le matin, en retournant à la ville, il eut faim.
Voyant un figuier sur le chemin, il s’en approcha ; mais il n’y trouva que des feuilles, et il lui dit : Que jamais fruit ne naisse de toi ! Et à l’instant le figuier sécha.
Les disciples, qui virent cela, furent étonnés, et dirent : Comment ce figuier est-il devenu sec en un instant ?
Jésus leur répondit : Je vous le dis en vérité, si vous aviez de la foi et que vous ne doutiez point, non seulement vous feriez ce qui a été fait à ce figuier, mais quand vous diriez à cette montagne : Ôte-toi de là et jette-toi dans la mer, cela se ferait.
Tout ce que vous demanderez avec foi par la prière, vous le recevrez.
Jésus se rendit dans le temple, et, pendant qu’il enseignait, les principaux sacrificateurs et les anciens du peuple vinrent lui dire : Par quelle autorité fais-tu ces choses, et qui t’a donné cette autorité ?
Jésus leur répondit : Je vous adresserai aussi une question ; et, si vous m’y répondez, je vous dirai par quelle autorité je fais ces choses.
Le baptême de Jean, d’où venait-il ? Du ciel, ou des hommes ? Mais ils raisonnèrent ainsi entre eux ; Si nous répondons : Du ciel, il nous dira : Pourquoi donc n’avez-vous pas cru en lui ?
Et si nous répondons : Des hommes, nous avons à craindre la foule, car tous tiennent Jean pour un prophète.
Alors ils répondirent à Jésus : Nous ne savons. Et il leur dit à son tour : Moi non plus, je ne vous dirai pas par quelle autorité je fais ces choses.
Que vous en semble ? Un homme avait deux fils ; et, s’adressant au premier, il dit : Mon enfant, va travailler aujourd’hui dans ma vigne.
Il répondit : Je ne veux pas. Ensuite, il se repentit, et il alla.
S’adressant à l’autre, il dit la même chose. Et ce fils répondit : Je veux bien, seigneur. Et il n’alla pas.
Lequel des deux a fait la volonté du père ? Ils répondirent : Le premier. Et Jésus leur dit : Je vous le dis en vérité, les publicains et les prostituées vous devanceront dans le royaume de Dieu.
Car Jean est venu à vous dans la voie de la justice, et vous n’avez pas cru en lui. Mais les publicains et les prostituées ont cru en lui ; et vous, qui avez vu cela, vous ne vous êtes pas ensuite repentis pour croire en lui.
Écoutez une autre parabole. Il y avait un homme, maître de maison, qui planta une vigne. Il l’entoura d’une haie, y creusa un pressoir, et bâtit une tour ; puis il l’afferma à des vignerons, et quitta le pays.
Lorsque le temps de la récolte fut arrivé, il envoya ses serviteurs vers les vignerons, pour recevoir le produit de sa vigne.
Les vignerons, s’étant saisis de ses serviteurs, battirent l’un, tuèrent l’autre, et lapidèrent le troisième.
Il envoya encore d’autres serviteurs, en plus grand nombre que les premiers ; et les vignerons les traitèrent de la même manière.
Enfin, il envoya vers eux son fils, en disant : Ils auront du respect pour mon fils.
Mais, quand les vignerons virent le fils, ils dirent entre eux : Voici l’héritier ; venez, tuons-le, et emparons-nous de son héritage.
Et ils se saisirent de lui, le jetèrent hors de la vigne, et le tuèrent.
Maintenant, lorsque le maître de la vigne viendra, que fera-t-il à ces vignerons ?
Ils lui répondirent : Il fera périr misérablement ces misérables, et il affermera la vigne à d’autres vignerons, qui lui en donneront le produit au temps de la récolte.
Jésus leur dit : N’avez-vous jamais lu dans les écritures : La pierre qu’ont rejetée ceux qui bâtissaient Est devenue la principale de l’angle ; C’est du Seigneur que cela est venu, Et c’est un prodige à nos yeux ?
C’est pourquoi, je vous le dis, le royaume de Dieu vous sera enlevé, et sera donné à une nation qui en rendra les fruits.
Celui qui tombera sur cette pierre s’y brisera, et celui sur qui elle tombera sera écrasé.
Après avoir entendu ses paraboles, les principaux sacrificateurs et les pharisiens comprirent que c’était d’eux que Jésus parlait,
et ils cherchaient à se saisir de lui ; mais ils craignaient la foule, parce qu’elle le tenait pour un prophète.

Jésus, prenant la parole, leur parla de nouveau en parabole, et il dit :
Le royaume des cieux est semblable à un roi qui fit des noces pour son fils.
Il envoya ses serviteurs appeler ceux qui étaient invités aux noces ; mais ils ne voulurent pas venir.
Il envoya encore d’autres serviteurs, en disant : Dites aux conviés : Voici, j’ai préparé mon festin ; mes bœufs et mes bêtes grasses sont tués, tout est prêt, venez aux noces.
Mais, sans s’inquiéter de l’invitation, ils s’en allèrent, celui-ci à son champ, celui-là à son trafic ;
et les autres se saisirent des serviteurs, les outragèrent et les tuèrent.
Le roi fut irrité ; il envoya ses troupes, fit périr ces meurtriers, et brûla leur ville.
Alors il dit à ses serviteurs : Les noces sont prêtes ; mais les conviés n’en étaient pas dignes.
Allez donc dans les carrefours, et appelez aux noces tous ceux que vous trouverez.
Ces serviteurs allèrent dans les chemins, rassemblèrent tous ceux qu’ils trouvèrent, méchants et bons, et la salle des noces fut pleine de convives.
Le roi entra pour voir ceux qui étaient à table, et il aperçut là un homme qui n’avait pas revêtu un habit de noces.
Il lui dit : Mon ami, comment es-tu entré ici sans avoir un habit de noces ? Cet homme eut la bouche fermée.
Alors le roi dit aux serviteurs : Liez-lui les pieds et les mains, et jetez-le dans les ténèbres du dehors, où il y aura des pleurs et des grincements de dents.
Car il y a beaucoup d’appelés, mais peu d’élus.
Alors les pharisiens allèrent se consulter sur les moyens de surprendre Jésus par ses propres paroles.
Ils envoyèrent auprès de lui leurs disciples avec les hérodiens, qui dirent : Maître, nous savons que tu es vrai, et que tu enseignes la voie de Dieu selon la vérité, sans t’inquiéter de personne, car tu ne regardes pas à l’apparence des hommes.
Dis-nous donc ce qu’il t’en semble : est-il permis, ou non, de payer le tribut à César ?
Jésus, connaissant leur méchanceté, répondit : Pourquoi me tentez-vous, hypocrites ?
Montrez-moi la monnaie avec laquelle on paie le tribut. Et ils lui présentèrent un denier.
Il leur demanda : De qui sont cette effigie et cette inscription ?
De César, lui répondirent-ils. Alors il leur dit : Rendez donc à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu.
Étonnés de ce qu’ils entendaient, ils le quittèrent, et s’en allèrent.
Le même jour, les sadducéens, qui disent qu’il n’y a point de résurrection, vinrent auprès de Jésus, et lui firent cette question :
Maître, Moïse a dit : Si quelqu’un meurt sans enfants, son frère épousera sa veuve, et suscitera une postérité à son frère.
Or, il y avait parmi nous sept frères. Le premier se maria, et mourut ; et, comme il n’avait pas d’enfants, il laissa sa femme à son frère.
Il en fut de même du second, puis du troisième, jusqu’au septième.
Après eux tous, la femme mourut aussi.
À la résurrection, duquel des sept sera-t-elle donc la femme ? Car tous l’ont eue.
Jésus leur répondit : Vous êtes dans l’erreur, parce que vous ne comprenez ni les écritures, ni la puissance de Dieu.
Car, à la résurrection, les hommes ne prendront point de femmes, ni les femmes de maris, mais ils seront comme les anges de Dieu dans le ciel.
Pour ce qui est de la résurrection des morts, n’avez-vous pas lu ce que Dieu vous a dit :
Je suis le Dieu d’Abraham, le Dieu d’Isaac, et le Dieu de Jacob ? Dieu n’est pas Dieu des morts, mais des vivants.
La foule, qui écoutait, fut frappée de l’enseignement de Jésus.
Les pharisiens, ayant appris qu’il avait réduit au silence les sadducéens, se rassemblèrent,
et l’un d’eux, docteur de la loi, lui fit cette question, pour l’éprouver :
Maître, quel est le plus grand commandement de la loi ?
Jésus lui répondit : Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, et de toute ta pensée.
C’est le premier et le plus grand commandement.
Et voici le second, qui lui est semblable : Tu aimeras ton prochain comme toi-même.
De ces deux commandements dépendent toute la loi et les prophètes.
Comme les pharisiens étaient assemblés, Jésus les interrogea,
en disant : Que pensez-vous du Christ ? De qui est-il fils ? Ils lui répondirent : De David.
Et Jésus leur dit : Comment donc David, animé par l’Esprit, l’appelle-t-il Seigneur, lorsqu’il dit :
Le Seigneur a dit à mon Seigneur : Assieds-toi à ma droite, Jusqu’à ce que je fasse de tes ennemis ton marchepied ?
Si donc David l’appelle Seigneur, comment est-il son fils ?
Nul ne put lui répondre un mot. Et, depuis ce jour, personne n’osa plus lui proposer des questions.

Verset du jour

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Jérémie 29.13

Vous me chercherez, et vous me trouverez, si vous me cherchez de tout votre cœur.

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