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Verset du jour - Les trésors de la foi

« Et il dit, touchant Joseph : Son pays est béni par l’Éternel, de ce qu’il y a de plus exquis aux cieux, de la rosée, et de l’abîme qui est en bas. » Deutéronome 33.13

Nous pouvons être enrichis des mêmes biens que ceux promis à Joseph, et dans un sens plus élevé encore. Oui, il nous donne « ce qu’il y a de plus exquis aux cieux. » La puissance de Dieu déployée en notre faveur, et la manifestation de cette puissance d’En-Haut, sont bien une chose des plus précieuses. Nous voudrions jouir aussi de la paix de Dieu, de la joie du Seigneur, de la gloire de l’Éternel ; recevoir en même temps la bénédiction des trois personnes divines, l’amour de Dieu, la grâce de Jésus-Christ, la communion du Saint-Esprit ! Ce sont là des biens que nous estimons plus que l’or fin. Non, les choses de la terre ne sont rien en comparaison des choses célestes. Parmi des dons, que « la rosée » est précieuse ! Nous prions Dieu de nous donner la rosée et nous l’en louons. Quelle fraîcheur, quel parfum, quelle croissance, quelle vie elle apporte avec elle ?

Nous sommes les plantes du jardin planté par l’Éternel ; et nous soupirons après cette rosée du Saint-Esprit ! « L’abîme qui est en bas » nous parle de ces eaux profondes de l’Océan dont sont alimentées toutes les sources vives qui réjouissent la surface de la terre. Être toujours nourri par les fontaines éternelles de l’amour divin, quel bienfait inexprimable ! Qu’aucun de nous n’ait de repos qu’il ne l’ait obtenu de la plénitude de l’Éternel, où nous n’avons qu’à puiser dès maintenant.

Charles Spurgeon

Bible en un an: 4 textes bibliques par jour
Jour 357

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Le huitième mois, la seconde année de Darius, la parole de l’Éternel fut adressée à Zacharie, fils de Bérékia, fils d’Iddo, le prophète, en ces mots :
L’Éternel a été très irrité contre vos pères.
Dis-leur donc : Ainsi parle l’Éternel des armées : Revenez à moi, dit l’Éternel des armées, et je reviendrai à vous, dit l’Éternel des armées.
Ne soyez pas comme vos pères, auxquels s’adressaient les premiers prophètes, en disant : Ainsi parle l’Éternel des armées : Détournez-vous de vos mauvaises voies, de vos mauvaises actions ! Mais ils n’écoutèrent pas, ils ne firent pas attention à moi, dit l’Éternel.
Vos pères, où sont-ils ? Et les prophètes pouvaient-ils vivre éternellement ?
Cependant mes paroles et les ordres que j’avais donnés à mes serviteurs, les prophètes, n’ont-ils pas atteint vos pères ? Ils se sont retournés, et ils ont dit : L’Éternel des armées nous a traités comme il avait résolu de le faire selon nos voies et nos actions.
Le vingt-quatrième jour du onzième mois, qui est le mois de Schebat, la seconde année de Darius, la parole de l’Éternel fut adressée à Zacharie, fils de Bérékia, fils d’Iddo, le prophète, en ces mots :
Je regardai pendant la nuit, et voici, un homme était monté sur un cheval roux, et se tenait parmi des myrtes dans un lieu ombragé ; il y avait derrière lui des chevaux roux, fauves, et blancs.
Je dis : Qui sont ces chevaux, mon seigneur ? Et l’ange qui parlait avec moi me dit : Je te ferai voir qui sont ces chevaux.
L’homme qui se tenait parmi les myrtes prit la parole et dit : Ce sont ceux que l’Éternel a envoyés pour parcourir la terre.
Et ils s’adressèrent à l’ange de l’Éternel, qui se tenait parmi les myrtes, et ils dirent : Nous avons parcouru la terre, et voici, toute la terre est en repos et tranquille.
Alors l’ange de l’Éternel prit la parole et dit : Éternel des armées, jusques à quand n’auras-tu pas compassion de Jérusalem et des villes de Juda, contre lesquelles tu es irrité depuis soixante-dix ans ?
L’Éternel répondit par de bonnes paroles, par des paroles de consolation, à l’ange qui parlait avec moi.
Et l’ange qui parlait avec moi me dit : Crie, et dis : Ainsi parle l’Éternel des armées : Je suis ému d’une grande jalousie pour Jérusalem et pour Sion,
et je suis saisi d’une grande irritation contre les nations orgueilleuses ; car je n’étais que peu irrité, mais elles ont contribué au mal.
C’est pourquoi ainsi parle l’Éternel : Je reviens à Jérusalem avec compassion ; ma maison y sera rebâtie, et le cordeau sera étendu sur Jérusalem.
Crie de nouveau, et dis : Ainsi parle l’Éternel des armées : Mes villes auront encore des biens en abondance ; l’Éternel consolera encore Sion, il choisira encore Jérusalem.
Je levai les yeux et je regardai, et voici, il y avait quatre cornes.
Je dis à l’ange qui parlait avec moi : Qu’est-ce que ces cornes ? Et il me dit : Ce sont les cornes qui ont dispersé Juda, Israël et Jérusalem.
L’Éternel me fit voir quatre forgerons.
Je dis : Que viennent-ils faire ? Et il dit : Ce sont les cornes qui ont dispersé Juda, tellement que nul ne lève la tête ; et ces forgerons sont venus pour les effrayer, et pour abattre les cornes des nations qui ont levé la corne contre le pays de Juda, afin d’en disperser les habitants.

Je levai les yeux et je regardai, et voici, il y avait un homme tenant dans la main un cordeau pour mesurer.
Je dis : Où vas-tu ? Et il me dit : Je vais mesurer Jérusalem, pour voir de quelle largeur et de quelle longueur elle doit être.
Et voici, l’ange qui parlait avec moi s’avança, et un autre ange vint à sa rencontre.
Il lui dit : Cours, parle à ce jeune homme, et dis : Jérusalem sera une ville ouverte, à cause de la multitude d’hommes et de bêtes qui seront au milieu d’elle ;
je serai pour elle, dit l’Éternel, une muraille de feu tout autour, et je serai sa gloire au milieu d’elle.
Fuyez, fuyez du pays du septentrion ! Dit l’Éternel. Car je vous ai dispersés aux quatre vents des cieux, Dit l’Éternel.
Sauve-toi, Sion, Toi qui habites chez la fille de Babylone !
Car ainsi parle l’Éternel des armées : Après cela, viendra la gloire ! Il m’a envoyé vers les nations qui vous ont dépouillés ; Car celui qui vous touche touche la prunelle de son œil.
Voici, je lève ma main contre elles, Et elles seront la proie de ceux qui leur étaient asservis. Et vous saurez que l’Éternel des armées m’a envoyé.
Pousse des cris d’allégresse et réjouis-toi, Fille de Sion ! Car voici, je viens, et j’habiterai au milieu de toi, Dit l’Éternel.
Beaucoup de nations s’attacheront à l’Éternel en ce jour-là, Et deviendront mon peuple ; J’habiterai au milieu de toi, Et tu sauras que l’Éternel des armées m’a envoyé vers toi.
L’Éternel possédera Juda comme sa part Dans la terre sainte, Et il choisira encore Jérusalem.
Que toute chair fasse silence devant l’Éternel ! Car il s’est réveillé de sa demeure sainte.

Puis je vis dans la main droite de celui qui était assis sur le trône un livre écrit en dedans et en dehors, scellé de sept sceaux.
Et je vis un ange puissant, qui criait d’une voix forte : Qui est digne d’ouvrir le livre, et d’en rompre les sceaux ?
Et personne dans le ciel, ni sur la terre, ni sous la terre, ne put ouvrir le livre ni le regarder.
Et je pleurai beaucoup de ce que personne ne fut trouvé digne d’ouvrir le livre ni de le regarder.
Et l’un des vieillards me dit : Ne pleure point ; voici, le lion de la tribu de Juda, le rejeton de David, a vaincu pour ouvrir le livre et ses sept sceaux.
Et je vis, au milieu du trône et des quatre êtres vivants et au milieu des vieillards, un agneau qui était là comme immolé. Il avait sept cornes et sept yeux, qui sont les sept esprits de Dieu envoyés par toute la terre.
Il vint, et il prit le livre de la main droite de celui qui était assis sur le trône.
Quand il eut pris le livre, les quatre êtres vivants et les vingt-quatre vieillards se prosternèrent devant l’agneau, tenant chacun une harpe et des coupes d’or remplies de parfums, qui sont les prières des saints.
Et ils chantaient un cantique nouveau, en disant : Tu es digne de prendre le livre, et d’en ouvrir les sceaux ; car tu as été immolé, et tu as racheté pour Dieu par ton sang des hommes de toute tribu, de toute langue, de tout peuple, et de toute nation ;
tu as fait d’eux un royaume et des sacrificateurs pour notre Dieu, et ils régneront sur la terre.
Je regardai, et j’entendis la voix de beaucoup d’anges autour du trône et des êtres vivants et des vieillards, et leur nombre était des myriades de myriades et des milliers de milliers.
Ils disaient d’une voix forte : L’agneau qui a été immolé est digne de recevoir la puissance, la richesse, la sagesse, la force, l’honneur, la gloire, et la louange.
Et toutes les créatures qui sont dans le ciel, sur la terre, sous la terre, sur la mer, et tout ce qui s’y trouve, je les entendis qui disaient : À celui qui est assis sur le trône, et à l’agneau, soient la louange, l’honneur, la gloire, et la force, aux siècles des siècles !
Et les quatre êtres vivants disaient : Amen ! Et les vieillards se prosternèrent et adorèrent.

Je regardai, quand l’agneau ouvrit un des sept sceaux, et j’entendis l’un des quatre êtres vivants qui disait comme d’une voix de tonnerre : Viens.
Je regardai, et voici, parut un cheval blanc. Celui qui le montait avait un arc ; une couronne lui fut donnée, et il partit en vainqueur et pour vaincre.
Quand il ouvrit le second sceau, j’entendis le second être vivant qui disait : Viens.
Et il sortit un autre cheval, roux. Celui qui le montait reçut le pouvoir d’enlever la paix de la terre, afin que les hommes s’égorgeassent les uns les autres ; et une grande épée lui fut donnée.
Quand il ouvrit le troisième sceau, j’entendis le troisième être vivant qui disait : Viens. Je regardai, et voici, parut un cheval noir. Celui qui le montait tenait une balance dans sa main.
Et j’entendis au milieu des quatre êtres vivants une voix qui disait : Une mesure de blé pour un denier, et trois mesures d’orge pour un denier ; mais ne fais point de mal à l’huile et au vin.
Quand il ouvrit le quatrième sceau, j’entendis la voix du quatrième être vivant qui disait : Viens.
Je regardai, et voici, parut un cheval d’une couleur pâle. Celui qui le montait se nommait la mort, et le séjour des morts l’accompagnait. Le pouvoir leur fut donné sur le quart de la terre, pour faire périr les hommes par l’épée, par la famine, par la mortalité, et par les bêtes sauvages de la terre.
Quand il ouvrit le cinquième sceau, je vis sous l’autel les âmes de ceux qui avaient été immolés à cause de la parole de Dieu et à cause du témoignage qu’ils avaient rendu.
Ils crièrent d’une voix forte, en disant : Jusques à quand, Maître saint et véritable, tarde-tu à juger, et à tirer vengeance de notre sang sur les habitants de la terre ?
Une robe blanche fut donnée à chacun d’eux ; et il leur fut dit de se tenir en repos quelque temps encore, jusqu’à ce que fût complet le nombre de leurs compagnons de service et de leurs frères qui devaient être mis à mort comme eux.
Je regardai, quand il ouvrit le sixième sceau ; et il y eut un grand tremblement de terre, le soleil devint noir comme un sac de crin, la lune entière devint comme du sang,
et les étoiles du ciel tombèrent sur la terre, comme lorsqu’un figuier secoué par un vent violent jette ses figues vertes.
Le ciel se retira comme un livre qu’on roule ; et toutes les montagnes et les îles furent remuées de leurs places.
Les rois de la terre, les grands, les chefs militaires, les riches, les puissants, tous les esclaves et les hommes libres, se cachèrent dans les cavernes et dans les rochers des montagnes.
Et ils disaient aux montagnes et aux rochers : Tombez sur nous, et cachez-nous devant la face de celui qui est assis sur le trône, et devant la colère de l’agneau ;
car le grand jour de sa colère est venu, et qui peut subsister ?

Verset du jour

SELECT v.livre, v.chapitre, v.verset, L.Texte, C.NomCourt FROM vod AS v INNER JOIN Correspondance AS C ON C.Livre = v.livre INNER JOIN LSG AS L ON v.livre = L.Livre AND v.chapitre = L.chapitre AND v.verset = L.verset WHERE v.id = 12

Psaumes 130.5

J’espère en l’Éternel, mon âme espère, Et j’attends sa promesse.

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